Poupée sexuelle grandeur nature en silicone de 158 cm, vagin, anal, oral, poupées adultes
Propriétés | Poupée sexuelle TPE | Couleur de peau | Naturel/Bronzé/Noir |
Hauteur | 158cm | Matériel | 100% TPE avec squelette |
Hauteur(Sans tête) | 145 cm | Taille | 52cm |
partie supérieure du sein | 83cm | Les hanches | 85cm |
partie inférieure du sein | 59cm | Épaule | 35cm |
Bras | 66/60cm | Jambe | 88/76cm |
Profondeur vaginale | 18 cm | Profondeur anale | 15 cm |
Profondeur orale | 12 cm | Main | 17cm |
Poids net | 33kg | Pieds | 21cm |
Poids brut | 42kg | Taille du carton | 143*40*30cm |
Applications : Populairement utilisé dans le domaine médical/modèle/éducation sexuelle/magasin pour adultes |
De nombreuses poupées adultes sont disponibles dans les entrepôts des États-Unis, d'Allemagne et de Belgique. Livraison rapide ! Allez !
Poupée sexuelle grandeur nature
Un lecteur de Floride, apparemment meurtri par une expérience personnelle, écrit pour se plaindre : « Si je vole une marchandise d'une valeur de cinq cents, je suis un voleur et puni ; mais si je vole l'amour de la femme d'autrui, je suis libre. » Cette idée fausse, très répandue, est que l'amour, comme une marchandise, peut être « volé ». De nombreux États ont d'ailleurs promulgué des lois autorisant des dommages et intérêts pour « aliénation d'affection ». Mais l'amour n'est pas une marchandise ; l'être réel ne peut être ni acheté, ni vendu, ni échangé, ni volé. C'est un acte de volonté, une transformation des émotions, un changement de personnalité. Lorsqu'un mari ou une femme est « volé » par une autre personne, ce mari ou cette femme était déjà mûr pour le vol, prédisposé à un nouveau partenaire. Le « voleur d'amour » ne prenait que ce qui attendait d'être pris, ce qui voulait l'être. Nous avons tendance à traiter les gens comme des marchandises. Nous disons même que les enfants « appartiennent » à leurs parents. Mais personne n'appartient à personne. Chacun s'appartient à lui-même et à Dieu. Les enfants sont confiés à leurs parents, et si ceux-ci ne les traitent pas correctement, l'État a le droit de les retirer de leur tutelle. La plupart d'entre nous, jeunes, avons vécu l'expérience de se faire enlever un être cher par quelqu'un de plus séduisant et de plus attachant. Sur le moment, nous avons peut-être ressenti du ressentiment envers cet intrus, mais en grandissant, nous avons compris que cet être cher n'avait jamais été le nôtre. Ce n'est pas l'intrus qui a provoqué la rupture, mais l'absence de relation véritable. À première vue, de nombreux mariages semblent se briser à cause d'un « tiers ». Il s'agit pourtant d'une illusion psychologique. L'autre femme ou l'autre homme ne sert que de prétexte pour dissoudre un mariage qui a déjà perdu son intégrité fondamentale. Rien n'est plus futile et plus contre-productif que l'amertume d'un amour méprisé, le sentiment vengeur qu'un autre s'est interposé entre soi et l'être aimé. Il s'agit toujours d'une distorsion de la réalité, car les gens ne sont ni prisonniers ni victimes d'autrui ; ils sont libres de façonner leur propre destin, pour le meilleur ou pour le pire. Mais l'amant ou le partenaire rejeté ne peut se permettre de croire que sa bien-aimée s'est détournée de lui volontairement. Il lui attribue donc des propriétés sinistres ou magiques. Il le traite d'hypnotiseur, de voleur ou de cambrioleur. Dans la grande majorité des cas, cependant, lorsqu'un foyer est cambriolé, la destruction a commencé bien avant l'apparition d'un « tiers ».