Lorsque les yeux du monde entier se tourneront vers Los Angeles pour les Jeux olympiques de 2028, verront-ils une ville encombrée de smog, embouteillée, avec ses chaudières à gaz et ses centrales électriques à combustibles fossiles ? Ou un phare dans un monde pollué, peuplé de panneaux solaires, de voitures électriques et de plaques à induction ?

La réponse courte : probablement les deux. Poupée sexuelle hentai

Mais un plan ambitieux dévoilé mercredi pourrait conduire à davantage de bonnes choses et à moins de mauvaises.

La feuille de route pour les énergies propres, élaborée par l'incubateur à but non lucratif Los Angeles Cleantech et approuvée par les autorités municipales et du comté, les agences d'État et la compagnie d'électricité Southern California Edison, entre autres, fixe de nouveaux objectifs climatiques ambitieux pour le comté de Los Angeles. Ces objectifs incluent une réduction de 15 % de la pollution responsable du réchauffement climatique d'ici 2028, rendue possible par d'importants investissements dans l'énergie solaire locale, les transports propres, le chauffage électrique, l'efficacité énergétique, etc.

Pour Matt Petersen, président de l'incubateur, les Jeux olympiques et paralympiques sont l'occasion idéale de démontrer au monde que Sacramento n'est pas la seule ville à montrer la voie en matière de changement climatique, comme le fait actuellement le gouverneur Gavin Newsom en Chine. Los Angeles, à elle seule, est la troisième ville économique mondiale et peut jouer un rôle crucial pour inspirer une action mondiale indispensable.

« Nous ne réussissons pas toujours parfaitement », a reconnu Petersen. « Mais nous pouvons faire bouger les choses. »